Hier, après notre visite de Machu Picchu, nous sommes retournés à Cusco et sommes arrivés très tard. Alors aujourd'hui, c'est journée de repos. Pas grand'chose à dire. Et pas de photos.
Nous avons mangé dans un resto charmant et nous nous sommes promenés dans la ville. Nous terminons la journée en préparant nos bagages pour demain. Nous partons pour l'Amazonie.
Bonjour à tous.
dimanche 28 novembre 2010
Machu Picchu - 24 novembre
Cèst dur la vie de touristes au Pérou. Le guide souhaite que nous partions tôt, avant la cohue de touristes. Le réveille-matin nous tire de notre sommeil à 4h15. La journée s'annonce plutôt nuageuse. En fait, on ne verra pas beaucoup le soleil. Qu'ìmporte, Machu nous attend et c'est notre seule chance de le voir.
Même sans soleil, on ne peut qu'ètre stupéfait face á la splendeur du site et l'ingéniosité du peuple Inca. Voir Machu Picchu dans la brume lui donne aussi un caractère plus mystique.
À notre arrivée, on ne voyait pas grand'chose...
Mais le temps s'est dégagé.
Vue à partir de la porte du soleil quelques 400 mètres plus haut (et une heure et quart de marche!!!, aller seulement).
Le site repose sur une faille, ce qui entraîne une détérioration de quelques constructions.
Même à quelques 2400 mètres d'altitude, la faune et la flore sont très variées et abondantes. En fait, la région est qualifiée de pré-amazonienne.
On peut apercevoir la route en lacets que les navettes empruntent pour amener les visiteurs à Machu Picchu.
À l'instar d'autres villes au Pérou, la pauvreté est omniprésente. À preuve, ce bâtiment plutôt délabré.
Même sans soleil, on ne peut qu'ètre stupéfait face á la splendeur du site et l'ingéniosité du peuple Inca. Voir Machu Picchu dans la brume lui donne aussi un caractère plus mystique.
À notre arrivée, on ne voyait pas grand'chose...
Mais le temps s'est dégagé.
Vue à partir de la porte du soleil quelques 400 mètres plus haut (et une heure et quart de marche!!!, aller seulement).
Le site repose sur une faille, ce qui entraîne une détérioration de quelques constructions.
Même à quelques 2400 mètres d'altitude, la faune et la flore sont très variées et abondantes. En fait, la région est qualifiée de pré-amazonienne.
On peut apercevoir la route en lacets que les navettes empruntent pour amener les visiteurs à Machu Picchu.
À l'instar d'autres villes au Pérou, la pauvreté est omniprésente. À preuve, ce bâtiment plutôt délabré.
Vallée sacrée (Pisac, Ollantaytambo) - 23 novembre
Il fait encore beau aujourd'hui.malgré le fait que nous sommes au début de la saison des pluies.
Nous visitons aujourd'hui d'autres sites Incas. Ceux-ci sont vraiment surpremants. Ils sont des génies de la construction et de l'astronomie. Il y a des sites partout à travers le pays. Maudits Espagnols qui ont détruit une bonne partie de tout ce qui a été fait.
Ici quelques vues de Pisac.
En début d'année, il y a eu un glissement de terrain et la route est maintenant impraticable.Les glissements de terrain et les tremblements font partie de la vie des Péruviens. La plupart des bâtiments dans les grandes villes sont pourvus de zones plus résistantes aux tremblements de terre, lesquelles sont bien identifiées pour que les gens s'y rendent en cas de séisme.
Le marché de Pisac, nettement plus touristique que celui de Chinchero.
Des cochons d'Inde grillés, un des plats les plus populaires dans la région des montagnes. On n'a pas encore osé en manger. On dirait des bébés "Alien".
Et le site d'Ollantaytambo. Carlos, notre guide qui est un passionné de l'héritage Inca, ne cesse de nous donner de l'information mais on n'écoute plus. Il se fait tard et on ne veut pas manquer notre train pour Machu Picchu.
Finalement, nous prenons le train "Inca Rail", lequel nous amènera á Aguas Calientes, village au pied du Machu Picchu que nous visiterons demain.
Nous visitons aujourd'hui d'autres sites Incas. Ceux-ci sont vraiment surpremants. Ils sont des génies de la construction et de l'astronomie. Il y a des sites partout à travers le pays. Maudits Espagnols qui ont détruit une bonne partie de tout ce qui a été fait.
Ici quelques vues de Pisac.
En début d'année, il y a eu un glissement de terrain et la route est maintenant impraticable.Les glissements de terrain et les tremblements font partie de la vie des Péruviens. La plupart des bâtiments dans les grandes villes sont pourvus de zones plus résistantes aux tremblements de terre, lesquelles sont bien identifiées pour que les gens s'y rendent en cas de séisme.
Le marché de Pisac, nettement plus touristique que celui de Chinchero.
Des cochons d'Inde grillés, un des plats les plus populaires dans la région des montagnes. On n'a pas encore osé en manger. On dirait des bébés "Alien".
Et le site d'Ollantaytambo. Carlos, notre guide qui est un passionné de l'héritage Inca, ne cesse de nous donner de l'information mais on n'écoute plus. Il se fait tard et on ne veut pas manquer notre train pour Machu Picchu.
Finalement, nous prenons le train "Inca Rail", lequel nous amènera á Aguas Calientes, village au pied du Machu Picchu que nous visiterons demain.
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