L'Amazonie, avant-dernière étape de notre voyage.
Dès que nous sommes sortis de l'avion, le choc fut brutal : chaleur et humidité accablantes. Les rues ne sont pas pavées et il n'y a presque pas d'autos. Mais les motos pullulent.
Nous ne restons pas dans la ville. Nous prenons une pirogue pour nous rendre au lodge où nous coucherons, un trajet d'une demi-heure.
Une vue du port de Puerto Maldonado.
La faune et la flore sont très variées. Ici des perroquets qui viennent picorer la falaise en argile pour manger des minéraux. Il a fallu se lever à 4h40 du matin et marcher une demi-heure pour se rendre à cet endroit.
Un aras qui vit sur le site du lodge.
Un petit repos bien mérité, après un lever hâtif et une chaleur accablante.
Notre petite maisonnette.
Un autre résident du site.
Nous avons fait une randonnée jusqu'au lac Sandoval où nous y avons vu une faune diversifiée, notamment cet oiseau (on ne se souvient plus du nom) avec une drôle de houpette.
Un arbre qui marche. Il peut se déplacer de plusieurs centimètres par année.
Un caïman au lac Sandoval.
Et oui, il y avait des tarentules.
Et finalement un coucher de soleil sur le Madre de Dios
Au cours de notre deuxième journée en Amazonie, nous avons marché plus de 10 kilomètres par une température de plus de 35 degrés, sans compter l'humidité. La douche et le repas étaient bien mérités.
Le propriétaire du lodge est français et la bouffe y était excellente. Nous avons également eu de bonnes discussions avec Raphaël, le barman, également français.
Mais c'est sans regret que nous quitterons l'Amazonie demain. Vraiment, ce n'est pas un climat pour nous.